C’est à cette question, formulée par le magazine Trends Tendances, que Me Thierry Lauwers a eu l’occasion de répondre. Dans un article récent, publié sur Internet et en version papier, il a pu à nouveau décrire le régime fiscal applicable à ces plus-values.
Contrairement à ce que pourrait laisser suggérer les récentes prises de positions du Services des décisions anticipées, les plus-values réalisées ne constituent pas automatiquement des revenus divers, taxés à 33%, ou des revenus professionnels, taxés au taux progressif. Après une analyse rigoureuse des éléments factuels, il peut s’avérer que ces plus-values rentrent dans les limites de la gestion d’un patrimoine en bon père de famille.
Me Thierry Lauwers évoque également l’intérêt fiscal, dans certains hypothèses, de constituer une société pouvant aboutir à une baisse de la pression fiscale sur les plus-values réalisées grâce aux investissements en cryptomonnaies.
Il convient d’effectuer une analyse au cas par cas en vue d’éviter une mauvaise surprise ou de payer plus d’impôts que ce qui est dû.